Se cachent, dans cette dernière livraison, deux pages hasardeuses et perdues parmi cent autres rédigées péniblement par notre équipe souvent éparse. Suffiront-elles à justifier l'éclipse de mois de Juin dans une année dont la surcharge pondérale de créativité résonne si peu avec la fameuse crise ambiante?

Navrés et contrits, nous nous associons, tel un voyagiste humant les brumes d'un volcan septentrional, à votre peine, démesurée alors que tout le monde crève à peu près partout du fait de la délocalisation de la production du pneumatique, mais nous n'y pouvons plus rien.

Aussi, bel été et c'est tout.